| Aleksandr Z. Romanov Messages : 44
Pokédollar : 161
| ALEKSANDR ROMANOV Ft. karna (fate) Rang D | Influençable | | 23 ans | Empathique | Boréal | Désespéré | gigolo | Réservé |
EN SAVOIR PLUS ••• Je sais qu'il y a des yeux, des plus mélancoliques, qui ne recèle point de secrets précieux. Beaux écrins sans joyaux, médaillons sans reliques, plus vides, plus profond que vous-mêmes , ô Cieux !───•◦❈◦•─── Garçon au regard souligné de tristesse, souffrant d'albinisme. L'astre solaire, son pire ennemi, est une compagnie rêvé, mais toujours esquivé. ◈ S'est toujours considéré comme monstrueux à cause de son défaut de pigment. Étrangement, ses yeux n'ont pas été atteint. ◈ Beauté exotique, androgyne et inconsciente, venue d'une lointaine et immense contrée à l'Est dont il a gardé l'accent chantant dans son parlé. Région méconnue sur laquelle il ne répond à aucune question, faisant ainsi planer le mystère autour de ses origines. ◈ Très réservé. Il parle peu de lui et de ses passions. Il démontre en revanche une profonde attirance pour la culture asiatique. ◈ Polyglotte force de voyage et d'intérêt pour la linguistique, il parle quatre langue couramment ; sa langue natale (russe), le français, l'anglais et le japonais. Un talent de mémoire et de connexion logique qui était un atout sur son cv. ◈ Sensible aux charmes d'autrui et à l'attention qu'on lui porte, à son plus grand damne. Un véritable défaut, un trouble de l'affecte, à l'origine de son départ et son arrivé à Netovia ; ainsi que son engagement envers le maître des glaces. ◈ Influençable, il suit le mouvement sans réellement chercher. Petite prostitué du destin refoulée, qui veut seulement ne pas mourir seul. Désespéré par une fierté pourrie d'un manque d'estime de soi, il cherche à se sentir normal sans réellement savoir qu'est la banalité. ◈ Malgré tout se cache un cœur de dragon. Courageux, ne tournant jamais le dos à l'adversité et faisant front avec subtilité. Juste équilibre entre force de frappe et réflexion stratégique, promis à un brillant avenir en tant que dresseur de Pokémon. ◈ Un cœur bon et généreux, simplement trop peu sûr de lui lorsqu'il faut s'adresser à autrui. Choisir ses mots avec parcimonie, prudence. Surplus de précaution qui amène à la maladresse. Maladresse répétée heurtant la confiance et pousse à l'isolement. ◈ Isolé de ses propres désirs, n'aimant que la chaire masculine, timide et renfermé, discret pour s'abriter des critiques. Vision de soi dégradé par cette attirance soi-disant non-conventionnel et la pression mise sur ses épaules au pays. ◈ Noble de coeur, mais aussi de lignée. Lignée fuit, avec quelques regrets. Coup de folie pour un coup d'un soir qui l'a emmené, influencé, trainé en dehors de son cocon argenté. Coup de putain qui l'a souillé, puis abandonné à son sort, alors qu'il a scellé son destin en pactisant avec l'entité glaciaire par amour pour sa personne, convaincu que le choix était bon. ◈ La loyauté est une valeur qu'il porte en haute estime et pourtant, il papillonne, prêt à tout pour obtenir l'intention d'autrui, même à vendre sa carcasse en guise d'exutoire, quand bien même le soir une fois seul, une boule au ventre d'insatisfaction et de malaise l'empêche de dormir. Le réconfort est une drogue et comme toutes, elle a ses effets nocifs. Enchainé sur ces terres gelées, il ne peut plus rentrer chez lui. Il n'ose plus, du moins.───•◦❈◦•─── Mais ne suffit-il pas que tu sois l'apparence, pour réjouir un cœur qui fuit la vérité ? Qu'importe ta bêtise ou ton indifférence ? Masque ou décor, salut ! J'adore ta beauté. AINSI DEBUTE NOTRE HISTOIRE ••• préface avant l'hiver ───•◦❈◦•─── Le climat est le seul point où Aleksandr n'a pas été dépaysé en arrivant à Netovia.
Ses yeux se sont ouverts pour la première fois dans la région de Rossiïa (Россия). Région particulièrement hostile pour tout être humain qui n'aurait pas une constitution suffisamment solide pour résister à ses températures capricieuses. Sans doute est-ce ces mêmes températures qui forgent des hommes et des femmes aux caractères bien trempés, déterminés et insouciants des caprices du destin. Région qui brille par sa maîtrise de l'industrie. Région où se mêle des nuances de gris et de blanc, parfois de vert dans les régions plus escarpés et sauvages non-conquises par l'homme. Région crainte par ses désirs de conquêtes et l'attitude belliqueuse de ceux qui la dirigent...
À l'abri des regards et du tumulte extérieure, des moutons tués sur le billot de la "grande expansion", la famille Romanov avait accueilli un nouvel arrivant. Un bébé chétif, pâle comme la neige qui tombait du ciel à cet instant. La peur les avait saisi un court instant ; était-il mort ? Peur qui s'est envolée dès le moment où il a ouvert les yeux. Ses parents se sont plongés dedans, fascinés par ceux-ci. Émerveillé de ce bleu qu'il n'avait jamais vu. Bleu comme les lacs les plus purs de Sibír' (Сиби́рь). Couple de noble richement vêtu, mais discrets, redevenus l'espace d'un instant semblable au commun des mortels. Un immense soin avait été fourni pour que ce bébé, Aleksandr, n'attrape pas froid.
Aleksandr Zakharevitch Romanov - est son nom complet. Aleksandr - "Défenseur de l'humanité" ; quelle ironie. Quelle coup du destin.
Enfance heureuse. Ces jours sont soigneusement gravés dans sa mémoire, car précieux et derniers vestiges de son innocence. Tout le monde était aux petits soins pour sa personne et veillait à ce qu'il ne manque de rien. Une affection avec laquelle cette fleur des neiges s'est abreuvée. Une énergie qui l'a fait grandir, alors que chaque chose semblait l'émerveiller, attirer sa curiosité, comme si la moindre nouveauté était une précieuse surprise, tels des œufs de Fabergé.
Tout semblait parfait et malgré tout, quelque chose lui manquait.
Un sentiment dérangeant. Une impression de n'être rien à côté de tout ceci et son silence, handicapant, n'avait aidé en rien. Pas un mot pour communiquer ce malaise et donc, pas un mot de réconfort de la part de son entourage qui ignorait le trouble grandissant. Tout allait bien ; de leur point de vue. Ses parents étaient fiers d'avoir un fils aussi unique en son genre. Si fiers qu'ils en choisissaient son destin devant les invités, alors que le premier concerné était assis à la même table sans que l'avis soit consulté. Fiers de voir qu'il ne contestait rien, qu'il était cette force tranquille, loin de se douter tous les tourments et les profonds désirs qu'il nourrissait derrière son visage angélique. Fiers de ce qu'il allait devenir. Fiers de voir sa facilité dans les langues. Fiers de ce qu'ils ont accomplis, au bout du compte et non pas de ce que souhaitait Aleksandr. Fiers d'abuser de cette résilience. Ce n'était plus un enfant. C'était un trophée.
Un trophée qui ne contestait pas, qui ne se rendait pas compte de l'injustice. Sensation de malaise grandissante et mensonge pour la cacher, ce dégoût coincé dans sa gorge. La main de sa mère se posait sur la sienne et d'un ton rassurant, elle semblait se soucier de son bien être. Elle s'en souciait, ce n'était pas faussé. Ce n'était pas une illusion. C'était même le problème. Cette attention, cette inquiétude à son égard, l'empêchait de réellement se rebeller par redevance. Le silence peut être effroyablement toxique.
Aleksandr s'était résigné à être ce que ses parents avaient choisi.vent d'ouest ───•◦❈◦•─── Plume à la main pour écrire ses leçons et ses notes, Aleksandr était enfermé dans une cage cristalline. Le monde donnait envie. Ses horizons semblaient l'appeler, mais l'interdiction tombait. La justification ; sa santé. Fragile et délicate. Justification pour voiler la vérité, la possessivité de ses parents et leur refus de le voir partir. Aleksandr était docile ; il acquiesçait, car l'idée de les décevoir lui fendrait le cœur. Les années ont rendus cette prison confortable et il a pris ses marques. Rien ne le motivait à aller dehors. Tout ne lui plaisait pas à l'intérieur, mais il savait faire preuve de suffisamment de résilience pour relativiser.
Jusqu'à ce jour où il est entré dans sa vie.
Jour classique en somme. Le temps était exécrable dehors et leurs invités venaient d'une région lointaine pour les rencontrer. Encore aujourd'hui, Aleksandr ignore ce qui les a motivé à traverser bon nombre de région.
Deux hommes vêtus de façon peu prudente et dont le plus âgé réclamé l'attention de ses parents. Diversion suffisante pour que le second, dont quelques années les séparer, ait sa curiosité émoustillé face à cette silhouette en retrait dans les ombres. Une course poursuite enfantine enclenchée, jusqu'à ce qu'il finisse par attraper le fuyard. La foudre avait donné son coup, empourprant les joues d'Aleksandr face à l'inconnu trop proche. Quel incroyable inconnu. Quel désinvolte. Quel manque de retenu. Quel sensation plaisante que cette chaleur dans un si froid pays. Un mélange d'amour et de jalousie à la fois. Quel homme plein de connaissance, qui ne cessait de capter son attention avec le récit de ses voyages, lui racontant ce qui se trouvait plus loin, bien plus loin, du domaine des Romanov. Des vertes contrées, des plages ensoleillées, des déserts de glace et de sable, une multitude de Pokémons à découvrir ;
Des chemins qui ne demandent qu'à être parcouru et non lu à travers ses livres, alors que les doigts de cet étranger frôlaient les siens sur le chemin, afin de fermer l'ouvrage ouvert dans lequel il était plongé. Inconnu est un terme que le temps a transformé en amant. Ces deux voyageurs étaient restés plus longtemps que prévu à cause de la météo peu clémente. C'est du moins ce qu'ils avaient dit. Un temps mis a profit, alors que l'amant mit suffisamment en confiance Aleksandr, fasciné par sa beauté et que ses mains vinrent retirer la coquille Vêtements lentement, avec une immense délicatesse. Aussi délicat que cette peau fragile et blanche comme la poudreuse.
Des baisers furent déposés. Des cœurs battaient aux rythmes de l'euphorie et du suspens, alors que les regards glissaient pour surveiller ceux des autres. Un secret enivrant et des promesses soufflées au creux de l'oreille. Des supplications, celle de venir. De partir d'ici. D'aller voir ces paysages d'ailleurs. Folie amoureuse s'il en est, bien qu'à contrecœur, envouté, Aleksandr a accepté. Une lettre laissée derrière lui et il s'était volatilisé avec, tout de même, une forte appréhension.
Les deux étrangers, père et fils, sont rentrés à Nétovia avec Aleksandr. Aleksandr qui était loin de se douter de ce qui allait lui arriver.rose fanée ───•◦❈◦•─── Aucun dépaysement, si ce n'est peut-être la sensation d'être l'étranger cette fois-ci. Plongé dans un nouvel environnement, avec de nouvelles habitudes à prendre, mais heureux d'avoir un phare auquel s'accrocher. Ils l'avaient emmené chez eux, afin qu'il ait un toit et un lit dans lequel dormir. À l'arrivée, une atmosphère étrange, loin de la vie de manoir dans laquelle il avait grandi. Ses yeux regardaient son reflet dans ces murs de glace et à travers, une étrange impression. L'intuition s'agite, murmure qu'il y a danger, mais son esprit dérive très vite vers son amant. Le ton était rassurant et sa main, tendue en sa direction, prête à saisir. Tout allait bien se passer - lui avait-il assuré. Le plus âgé s'était assis sur un bureau, une fois que cet immense temple de givre avait été traversé et que la pièce à vivre fut atteinte. Ces paysages enneigés auxquels Aleksandr avait été arraché, cette beauté figée dans le temps grâce à la glace, était menacée de disparaître. Des belles paroles, mensongères et flatteuses. Des mots flatteurs pour endormir sa vigilance. L'ainé lui mit ceci dans la tête ; ici, il avait besoin de lui. Ici, il était l'allégorie de cette terre perdue et de cette beauté en danger. Personnification de ce qu'est et ce que devait être l'humain à l'échelle de la nature, une chose fragile, éphémère, mais sage.
Et que si Aleksandr n'entendait qu'ineptie, alors leur Dieu lui montrera ses tords et son chemin. Piégé, mais inconscient de cela. La flatterie fait mouche, pousse la gêne à se manifester et son ego, à démontrer sa docilité. Un simple hochement de tête et il avait donné son accord. Une nouveau couloir fût traverser et ses Pokémons, laissés derrière lui, sous "bonne" garde. Le vent arctique était mordant, mais rien qui ne le fasse reculer. L'amant lui faisait confiance et il avait confiance en lui. Ses jambes ont faibli plus vite que son esprit, mais par fatigue. Aleksandr s'était assis et faisait preuve de patience. Ses yeux bleus scruttés le moindre changement autour de lui. La moindre manifestation.
La notion de temps avait disparu. Puis soudain, il lui ait apparu. Magnifique créature à la voix puissante et devant lequel il avait attendu l'autorisation, avant de se relever. Sa main gracile, après un temps d'échange, s'était tendu pour chercher un contact avec celle-ci. Ses doigts ont frôlés le museau et la sincérité de ses attentions furent transmises. Rendre justice à cette nature gâchée, préserver et redorer sa beauté. Le temps de cet entretien, il n'y avait plus que Aleksandr et Kyurem. L'amant et son patriarche lui était sorti de l'esprit et c'était pleinement à cet allégorie d'environnement bafoué que son attention pure allait. À son oreille apparue un disque, cristallisation de sa force intérieure et volumineuse, comme le potentiel qu'il cache.
Tout s'était bien passé - en effet. Jusqu'à sa sortie. Ses Pokémons étaient blessés et il n'y avait que l'ainé. L'amant avait disparu, appelé de toute urgence. L'incompréhension, alors que l'homme, essoufflé, expliquait la traitrise de son fils. Des mots et encore des mensonges. La sensation étrange, Aleksandr avait fini par mettre la main dessus ; malsain. Un chantage affectif s'était mis en place. Un goût amer de déception et de mal être. Celui de l'abandon et du profit. Des mots pour bercer d'illusion, alors qu'en échange du logis et du couvert, de sa protection, il devait faire tout ce qu'il lui dit de faire. Absolument tout. Piégé entre les griffes de ce prédateur, Aleksandr n'avait nul part d'autres où aller, alors il a accepté d'être sa précieuse poupée docile. Cette compagnie, même s'il en devenait malade. Un trophée exotique, habillé et arrangé pour le plaisir et l'exaltation, sans que quiconque appose ses marques. Un contrat secret ; aux yeux de tous, ce n'était qu'un acte de charité platonique.
Comme quoi ; il est vrai que l'homme détruit tout ce qu'il touche.
Position écœurante et diffamante, mais avec quelques avantages. Il ne manquait de rien, car tout lui était offert afin qu'il reste. Même inconsciemment, alors que son œil s'est promené dans les petits papiers de son "employeur" ; le nom des romanov revenaient sur plusieurs rapports, comme si sa famille avait eu aussi des choses à cacher. Des croquis de bijoux semblables aux siens, plus fastes encore et des œufs de Fabergé. Qui lui a menti et qui l'a berné ?sous la glace ───•◦❈◦•─── Peu de temps après son départ, la lettre était arrivée entre les mains de ses parents. Aucune surprise sur leur visage, mais un air malheureux. Eux-aussi, bernés. Les étrangers leur avaient promis de d'emmener leur fils loin d'ici, loin du vent de la révolte, à l'abri. Les murs de sa prison de cristal n'étaient plus suffisamment solides pour retenir la vérité extérieure. Celle de la haine envers leur famille et ses rituels liés à l'entité des glaces éternels. À l'abri oui ; il l'était. Ce qu'ils n'avaient pas mentionné en revanche, sans quoi ses parents auraient refusé, c'était ce qu'il allait devenir une fois là-bas. Jamais ils n'auraient accepté qu'il devienne un objet de divertissement pour autrui. Ô grand jamais ! S'ils le savaient, ils en seraient malade et honteux, profondément désolé d'avoir accordé leur confiance à de tels individus sans scrupules ni sens de l'humanité. Malheureusement, ils ne le seront probablement jamais. Tués sans préavis. Belliqueux peuples donc, qui ne connait de la justice que la poudre et le sang. Emportés par la folie des hommes et sa crainte profonde de tout ce qu'il ne connait pas ou ne maîtrise pas.
L'amant quant à lui a simplement obéit aux ordres. Frimaria était la nouvelle cible et Aleksandr, ayant perdu la notion du temps, n'est pas resté quelques heures dans cette grotte, mais bien quelques jours. Une poignée de jour suffisante pour s'absenter à l'improviste. Désaccord il y a eu, entre lui et son père. Il refusait de bouger, il voulait l'attendre et les crocs ont été montré. Brève altercation et marchandage affectif, encore. L'amant a été envoyé à Frimaria, a fait sauté quelques bâtiments. Une première explosion ratée, car peu concentrée. La seconde en revanche, elle était parfaite. Si parfaite, qu'il a été blessé dans le processus. Affaibli, attrapé par les membres de Ligue, son silence fût impénétrable et il a été envoyé en prison. Loin des regards, enterré sous terre sans être mort, sans cercueil, mais parmi d'autres terroristes. RYU TYLTON ☆ #0333 Oisillon timide aux couleurs d'or que Aleksandr a trouvé un beau jour blessé dans le jardin de ses parents. La petite créature piaillait de douleur et sensible, il l'a pris sous sa propre aile pour le soigner. Des traces de lutte semblaient indiquer qu'il s'était battu contre plis gros que lui. Le Tylton, touché par l'acte du dresseur et en sentant sa profonde mélancolie, s'était mis à sautiller. Il lui avait tenu compagnie jusqu'à ce que finalement, son bec frappe contre une Pokéball pour officiellement devenir sa propriété. DRAKTYR Draby #0371 Bagarreur touché par la sensibilité et la fragilité de cet humain, qui n'a pas bronché en le voyant foncer tête baissé devant lui. Nul doute que d'un simple coup de tête, il l'aurait brisé en deux. Cependant il n'a rien fait de tel et il s'est plutôt engagé à protéger cet étrange personnage en sentant que quelque chose ne tournait pas rond. Il a bien raison, car ce Draby s'avère être un garde du corps redoutable. Même son le maître de son dresseur se méfie de lui, car il supporte difficilement son attitude vicieuse. Je ne remplie plus ici, ça ne sert à rien /pan
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