| Lúna Briem Messages : 57
Pokédollar : 166
| Lúna Briem Ft. Veyle (Fire Emblem Engage) | Rang D | Discrète | | | 18 ans | Protectrice | | Empire | Agile | | Étudiante | Docile |
EN SAVOIR PLUS ••• Joyeuse et pleine de vie, mais elle n’est pas pour autant hyperactive. Elle est plutôt calme, lorsqu’elle se montre hyperactive, c’est souvent parce qu’elle le fait de manière voulue pour une raison x. Il lui arrive de répondre aux autres de manière enfantin. Généralement, si on lui cri dessus, elle s’écrase sans répliquer, particulièrement lorsqu'elle ne connaît pas la personne ou qu'elle l'a vraiment mérité… Parce que oui, généralement, elle sait reconnaître ces torts la petite. Autre que ça, Lúna a généralement un bon contrôle de ces émotions, elle est en mesure de passer de fofolle à calme, en passant par le froid ou encore le sérieux en quelques courtes secondes.
Elle préfère généralement être dehors qu’entre quatre murs, mais n’aime pas pour autant se retrouver dans une foule de gens, dans ces cas-là, Lúna peut-être assez collante avec les gens qu’elle connaît ou ces Pokémons, s’il n’y a personne qu’elle connaît suffisamment près d’elle. Parfois certains cauchemars de lorsqu'elle était jeune lui reviennent, l'empêchant de dormir. Hormis avec quelques rares personnes, elle parle que rarement de ce qu'elle a vécu lorsqu'elle était jeune.
Lúna ne porte pas vraiment d’importance à sa propre vie, vivre ou mourir l'importe peu, mais elle n'est pas pour autant suicidaire, elle n'ira pas courir à sa perte pour rien. Elle se montre assez protectrice envers les personnes à qui elle tient énormément, elle a déjà perdu une soeur et elle ne voudrait pas perdre quelqu'un d'autre qu'elle aime, mais les inconnues par contre cela lui fait absolument rien. La gamine a une bonne tolérance à la douleur, malgré son air délicat. Lúna se fout royalement de ce que les autres peuvent penser d’elle, mais par contre elle n’est pas indifférente lorsqu’on parle en mal des gens qu’elle aime.
La petite n’est pas difficile à nourrir, mais si elle devait choisir un plat favori, cela serait n’importe quoi qui est épicé. La gamine aime bien aller faire des courses pour sa cousine, Logn, comme celle-ci n'aime pas vraiment sortir, alors qu’elle si, voilà. Certes, cela n'est pas une façon d'aider sa cousine à sortir, mais cela importe peu à Lúna.
Si, il a quelque chose qu’elle n’aime pas, c’est bien de devoir mettre quelque chose dans ces pieds, la gamine préfère être nu-pied… Certes, si elle y est vraiment obligée, elle portera quelque chose, parce que well, aller dans la neige avec rien dans les pieds est assez impossible, pareil sur une surface trop chaude ou vraiment dangereuse. Se blesser n’est pas quelque chose qui la dérange, puisque souvent même si elle se coupe, si cela n’est pas grave, la gamine ne s’en rendra même pas compte…
Lúna peut porter des robes, vestes ou encore des habits banals, elle n’est pas forcement difficile dans les vêtements. La petite possède des cicatrices au niveau du milieu de son dos et ces cotes, chose qui est peu visible quand elle a des habits, logiquement et qu'elle préfère ne point les montrer aux autres. Elle possède de longs cheveux qu’elle refuse de couper, ceux-ci sont blancs et noirs, les deux couleurs s’entremêlent dans toute sa chevelure sans logique propice. Ces yeux sont mauves, elle possède un vissage plutôt doux et naïf, mais surtout Lúna a l’air beaucoup plus jeune qu’elle l’est en réalité. Agile et rapide, comme elle n’a pas une très grosse corpulence, ni grande taille, se faufiler un peu partout lui est plutôt facile, surtout qu'elle sait se faire discrète sans problème.
AINSI DEBUTE NOTRE HISTOIRE ••• Je suis née dans une famille où je n’aurais jamais du naître… une famille qui n’aurait jamais dû avoir d’enfant, alors qu’ils en ont eu deux, une grande sœur et moi… Un père possessif et violent, alors qu’une mère qui ne pouvait rien faire autre que suivre celui-ci, trop terrifier pour se libérer de son emprise. Notre père se foutait de nous, hormis s'amuser à nous blesser, il ne s’occupait point de nous, même si ma mère aurait voulu nous porter un amour maternel, cela lui était impossible à cause de notre père. Ma vie n’était pas joie, loin de là. Le peu de réconfort que je pouvais avoir venait de ma sœur, ainsi qu’une bébé Zorua qui venait de je n’avais pas trop compris où, de ma mère, peut-être ? Dans tous les cas, mon père ne l’avait jamais vue, par chance. Un soir… J'avais six ans, mon père a mis fin à la vie de ma mère sous une dispute plus violente que la normale… Horrifier, je me tenais après ma grande sœur. Mon père s’était approché de nous avec deux cachets qu’il nous avait dit d’avaler, mais avant même que je prenne le mien, ma sœur avait pris les deux pour les avaler avant même que l’homme ne puisse agir. Celui-ci n’avait pas été très content de se geste, mais tout se que je pouvais faire était de rester légèrement derrière ma sœur, jusqu’à se que celle-ci tombe au sol, convulsant un instant, jusqu’à arrêter inerte. J’avais peur, incapable de bouger, mon père m’avait attrapé par un bras, pour simplement commencer a s’en prendre à moi. Tout ce que je pouvais faire était de pleurer et subir les coups… Lorsqu’il m’avait finalement lâché, j’étais simplement tombé au sol… Fermant mes yeux doucement… Peut-être était-ce mieux ainsi ? Ainsi, je n’aurais plus à souffrir, n’est-ce pas grande-sœur… ? •••••• Ouvrant mes yeux doucement, mon regard était venu se déposer sur un plafond blanc… J’avais mal… J’étais où ? J’avais simplement tourné ma tête lorsqu’une voix féminine était arrivée à mes oreilles… J’avais peur, mais trop mal pour bouger. Apprenant que j’étais dans un hôpital, doucement, les souvenirs de cette soirée revenaient à moi… Chose qui n’aidait point mon cas… Restant un certain moment à l’hôpital, apprenant entre temps que mes parents et ma grande soeur étaient morts. Mon père avant de ce suicider, avait du me croire morte ou que je le serais avant que des gens débarque, j'imagine. La petite Zorua était restée près de moi, tout le temps que j'étais à l'hôpital. Après tout, elle était tout ce qui me restait… Restant craintif envers les gens autour de moi, j’avais fini par sortir de l’hôpital, des gens m'avaient apporté dans un orphelinat, puisque je n'avais aucune parenté toujours en vie. Doucement, malheureusement, des images de cette fameuse nuit revenaient sans arrêt, pendant quelque temps, un psychologue venait me voir, mais cela ne m’empêchait pas d’essayer de fuir cet endroit en vaine… Pas que je voulais rentrer chez moi, seulement que j’avais peur de rester là, avec ces personnes, peur que ceux-ci me blessent comme la vie que j’avais eue jusqu’à présent. J’étais resté peu de temps dans cet endroit, puisqu’un couple avait fini par m’adopter. Pourquoi moi ? Je ne savais pas trop… Prenant le nom de famille de Kiran, mon nouveau père, c’est-à-dire Briem… Le couple avait déjà deux enfants, un garçon du nom de Mír et une fille du nom de Arna, tous deux plus vieux que moi. J’avais aussi beaucoup de cousins/cousines du côté de ce "père", visiblement… Ma nouvelle mère portait le nom de Eir. Une famille qui suivait tous les pas de l’Empire. Restant au début dans la chambre qui était maintenant mienne, la Zorua m’avait suivi, chose qui ne semblait pas les déranger. Au début, je n’osais pas vraiment sortir, puisque j’avais été habitué à rester surtout enfermer dans ma vie. Je n’aimais pas vraiment ça, mais comme je n’arrivais pas à comprendre que je pouvais être plus "libre", pas forcement rester dans cette chambre… Disons que cela n’avait pas pris grand temps pour que j’essaie de fuir cette nouvelle demeure en vaine. Visiblement, il y avait toujours un des quatre qui gardaient un oeil sur moi. Je ne voulais pas comprendre que je n'avais pas à agir ainsi, mais quand la peur te prend, elle te prend… Cela prit beaucoup de temps… d'années, mais doucement, j’avais fini par m’y faire à cette nouvelle vie… Une vie bien meilleure. Doucement, j'avais commencé à voir cette famille qui m’avait adopté, comme ma vraie famille. Laissant mon passé derrière moi, sans pour autant l'oublier, pour doucement montrer celle que j’étais vraiment. Dès que j’eus l’âge, j’avais fini par commencer les études militaires, je n’avais pas vraiment eu le choix, mais cela ne me dérangeait pas non plus. Ces personnes m'avaient apporté une vraie vie, donc si je pouvais les rendre fières ainsi, j'allais le faire sans hésitation. Je ne savais pas trop ce que je voulais faire, vers où m'orienter, mais je le découvrirais bien un jour ou l'autre… n'est-ce pas ? Nel Zorua #570  Nel est une Zorua chromatique assez protectrice envers sa dresseuse. Elle est beaucoup plus petite que la normale de sa race, celle-ci fait plus ou moins 0.56 mètre. Elle est relativement calme, mais aime néanmoins jouer avec les Pokémons qu’elle connaît. Lúna s’en sert souvent comme peluche pour dormir, chose qui ne dérange point la sombrenard. Contrairement à sa dresseuse, celle-ci n’aime pas les aliments épicés, elle ne les tolère pas du tout, elle préfère ce qui est sucré.
Elle n’aime pas vraiment que des inconnues la touchent, celle-ci peut facilement mordre dans ce cas-là. Elle n’aime pas les Pokéballs, Nel préfère être libre, ainsi elle peut protéger sa maîtresse en tout temps. Jamais la Zorua n’irait contre les ordres de Lúna, sauf sous quelques rares exceptions.
Celle-ci est une Pokémon que Lúna a depuis aussi loin que ces souvenirs la portent. Nil CERFROUSSE #234  Nil est un Cerfrousse farouche de nature. Il n’accepte personne d’autre que Lúna ou limite quelques autres personnes à qui il aurait donné sa confiance sur son dos. Il est assez grand pour un Cerfrousse, il fait environ 1,60 mètre. Il préfère les aliments amers.
Contrairement au Cerfrousse en général, celui-ci n’est pas du genre à fuir, il préfère combattre. Nil écoute moyennement sa dresseuse en combat, si l’ordre ne lui plaît pas, il va en faire qu'à sa tête. Celui-ci lui a été offert par sa mère d’adoption quelque temps après avoir été adopter dans la famille Briem. Certes, la tradition dans leur famille voulait que le parent de même sexe attrape un Pokémon pour l’enfant pour ces cinq ans, mais comme Lúna avait déjà dépassé cet âge, elle l'a eu pour ces sept ans.
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